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Ces 9 habitudes augmentent vos risques de souffrir de dépression

Vous débarrasser de ces mauvaises habitudes peut vraiment améliorer votre humeur et réduire votre risque de sombrer dans la dépression.

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Vous êtes friand de malbouffe

Un bon hot dog ou un sac de croustilles mangé sur le pouce peut à l’occasion faire une bonne collation, mais l’excès d’aliments transformés pourrait sérieusement vous saper le moral. Une étude de 2009, publiée dans le British Journal of Psychiatry, et portant sur les habitudes alimentaires de 3000 personnes a établi que les plus gros consommateurs de ce type d’aliments étaient les plus sujets à la dépression. Et, les participants qui mangeaient le plus de fruits et de légumes étaient les moins susceptibles de se sentir déprimés.

Éviter complètement les aliments transformés est sans doute difficile, surtout si vous êtes pressé, mais voici comment entraîner votre cerveau à ne plus aimer la malbouffe.

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iStock/tatyana_tomsickova

Vous êtes seul trop souvent

Être seul de temps en temps et apprécier cette solitude peut être bénéfique pour la santé mentale. Cela peut améliorer la concentration et vous aider à résoudre des problèmes. Toutefois, passer trop de temps en solitaire peut inverser ces effets bénéfiques et augmenter le risque de dépression souligne Susan Heitler, PhD, psychologue clinicienne et auteure de Prescriptions Without Pills.

Créer de solides amitiés et entretenir de bonnes relations est l’une des meilleures stratégies contre la dépression. « Nous partageons des sourires et des éclats de rire », dit-elle. Chaque échange avec les autres est autant d’occasions d’avoir des émotions positives. »

Mettez en place ces stratégies pour rompre la solitude et rencontrer de nouvelles personnes.

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Faire du multitâche sur ses écrans peut augmenter les risques de souffrir de dépression.iStock/marco_piunti

Vous faites du multitâche sur vos écrans

Entre les téléphones intelligents, les ordinateurs portables et les services de diffusion en ligne, il devient facile partager son attention entre plusieurs ces appareils simultanément. On estime même que le temps que vous passez en mode multitâche sur vos appareils électroniques a augmenté de 119% au cours de la dernière décennie. Vous avez peut-être pris l’habitude de consulter votre téléphone tout en regardant Netflix, mais la recherche montre que cette surconsommation de médias peut être mauvaise pour votre cerveau.

Une étude de 2013 de l’université du Michigan et portant sur 318 personnes a établi que les adeptes du multitâche média affichaient plus souvent des symptômes de dépression et d’anxiété sociale. Pour combattre cela, efforcez-vous de n’utiliser qu’un appareil à la fois, et de limiter le temps global que vous passez devant un écran.

Souffrez-vous du syndrome FOMO? Voici 8 façons de vous libérer des réseaux sociaux.

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iStock/asiseeit

Vous fréquentez des gens négatifs

Les commentaires négatifs et critiques venant d’amis, de votre patron ou de proches risquent de faire bien plus que de vous donner simplement le cafard. En fait, vous entourer de gens négatifs peut vraiment accroître votre tendance à la déprime. «Personne n’aime se faire parler rudement, observe la Dre Susan Heitler. Être avec quelqu’un qui diffuse cette énergie négative est problématique. Ça peut vraiment vous démoraliser.»

Cherchez plutôt à être en relation avec des personnes qui renforceront positivement vos actions au lieu de vous critiquer sans cesse. Vous verrez ainsi sans doute la vie de manière plus positive et réduirez vos risques de sombrer dans la dépression.

Apprenez à détecter et à mettre fin aux amitiés toxiques.

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Vous fumez

Vous savez sans doute que fumer peut causer un tas de problèmes respiratoires, mais une recherche récente prouve que cela peut aussi vous rendre plus susceptible de souffrir d’anxiété et de dépression. Une recherche de 2015 de la University College de Londres et de la Fondation britannique du cœur a suivi 6500 personnes âgées de 40 ans et plus.

Et, elle a découvert que 18% des fumeurs montraient des signes de dépression et d’anxiété, contre 10% seulement des non-fumeurs. La recherche montre aussi que les gens qui ont arrêté de fumer depuis plus d’un an ne sont pas plus anxieux ou déprimés que ceux qui n’ont jamais touché une cigarette, suggérant que l’incidence de cette maladie diminue lorsque vous cessez de fumer.

Il n’est jamais trop tard pour arrêter! Essayez ces 20 astuces efficaces pour y arriver.

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iStock/real444

Vous passez trop de temps en ville

Vivre en ville peut avoir un tas d’avantages – bons restos, transports en commun, vie nocturne endiablée –, mais passer trop de temps dans un contexte urbain peut aussi affecter votre humeur. Selon une étude de 2011 de l’Institut central de santé mentale de l’université de Heidelberg, en Allemagne, vivre dans une grande ville est lié à un niveau plus élevé de stress et de maladie mentale – surtout la dépression. Éliminez de votre quotidien ces sources de stress inutiles. 

Pour les citadins qui voudraient échapper aux mauvais effets de la ville, une brève sortie dans les parcs ou une virée à la campagne permettront de prendre un bain de nature et de vous accorder une pause loin de la frénésie citadine. S’il vous est impossible de sortir de la ville de temps en temps, la Dre Heitler suggère de garder quelques plantes en pots dans votre espace de vie pour rendre l’atmosphère plus relaxante. «Les plantes et les éléments naturels propagent une sorte d’énergie positive», dit-elle.

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Vous vous couchez tard

On dit souvent que se coucher et se lever avec les poules est un signe de santé! Il y a sans doute du vrai là-dedans. Une étude menée en 2014 par l’université de Binghamton a démontré que l’esprit des gens qui se couchent tard est traversé par un plus grand nombre de pensées négatives durant la journée, ce qui est lié à la dépression. À l’inverse, ceux qui se couchaient tôt avaient moins d’idées noires.

L’heure de coucher idéale pour tirer le maximum de votre humeur varie d’une personne à l’autre et dépend en grande partie de votre âge, mais, selon le Time, le meilleur moment de se glisser dans les draps, pour la majorité des adultes, c’est entre 20h00 et minuit. Impossible de vous endormir aussi tôt? Établissez ce rituel du coucher pour de meilleures nuits.

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iStock/franckreporter

Vous n’êtes pas assez actif

Trop de temps passé collé à l’écran de la télé pourrait avoir de fâcheuses conséquences sur votre santé mentale. Comme l’explique la Dre Heitler, s’occuper le corps et l’esprit en faisant de l’exercice ou en accomplissant des projets importants améliore votre humeur et réduit votre risque de dépression. Quand vous êtes physiquement actif, votre cerveau libère des substances chimiques naturelles telles que les endorphines et les endocannabinoïdes, qui procurent une sensation de bien-être et peuvent soulager les pensées dépressives.

D’un autre côté, se dépenser mentalement améliore votre humeur d’une manière légèrement différente. «Les gens ont besoin de projets qui donnent du sens à leur vie afin de se sentir bien, dit la psychologue. Ne se sentir engagé dans rien vous rend vulnérable à la dépression.» Avoir un projet ou une passion, que ce soit en faisant du bénévolat ou en se fixant un objectif à long terme, vous permet de vous enthousiasmer pour quelque chose, ce qui vous met de meilleure humeur.

Commencez par intégrer la marche à votre quotidien. Voici 14 façons de faire plus de 10 000 pas par jour.

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Vous utilisez une contraception hormonale

Aux États-Unis, environ 62% des femmes en âge de se reproduire utilisent des moyens de contraception, et environ 67% d’entre elles adoptent une approche hormonale telles que la pilule, le stérilet ou les injections. La contraception hormonale peut augmenter le risque de dépression.

Une étude de 2016 de l’université de Copenhague portant sur la santé de Danoises âgées entre 15 et 34 ans s’est penchée pendant 13 ans sur les liens entre l’utilisation de contraceptifs hormonaux et l’apparition de la dépression. Les chercheurs ont découvert que tous les types de contraceptifs hormonaux étaient liés à un risque accru de pensées dépressives. Si ces symptômes deviennent trop envahissants dans votre quotidien, il faudrait peut-être parler à votre médecin de la possibilité d’utiliser un contraceptif non hormonal.

Lisez ces 13 choses à savoir sur la pilule contraceptive.

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Contenu original Reader's Digest