« J’ai ouvert mon propre café dans la cinquantaine »

Il n’est jamais trop tard pour réaliser ses rêves, s’il faut en croire Elizabeth Aikenhead, qui était dans la cinquantaine quand elle a décidé qu’il lui fallait du changement. 

« J'ai ouvert mon propre café dans la cinquantaine »« J’ai ouvert mon propre café dans la cinquantaine »

Pour Elizabeth Aikenhead, propriétaire du Our Lucky Stars Café (café de la bonne étoile), le travail autonome s’est traduit par l’achat d’une propriété de trois acres dotée d’une piscine creusée à Warkworth, Ontario. « J’ai vendu ma maison à Toronto et j’ai pu acheter cette grande maison de ferme et un café au village », déclare l’ex-productrice télé. « J’ai toujours eu envie d’ouvrir une boutique d’alimentation parce que j’adore faire la cuisine et recevoir, mais je n’ai jamais imaginé que je dirigerais un restaurant. »

Tout comme d’autres employé(e)s insatisfait(e)s de leur boulot, Mme Aikenhead avait atteint la cinquantaine et voulait changer de carrière. « Je commençais à sentir tout le stress de mon travail et je savais que je devais faire des changements sans attendre », dit-elle en avouant que les journées de 14 heures commençaient à lui peser. « Maintenant, je m’éveille au chant des oiseaux, je vais me promener dans le jardin et je nage un peu avant de partir pour le travail auquel j’arrive en quelques minutes ».

Selon elle, le café et son nouveau style de vie lui ont permis de rencontrer des gens fascinants et de s’inscrire à des cours qu’elle voulait suivre depuis des années. « Je suis venue vivre dans une petite ville et mon univers s’est élargi », dit-elle.

Ayant évité de peu une crise cardiaque juste avant son déménagement pour Warkworth, Mme Aikenhead a choisi pour son café un nom qui exprime bien la chance qu’elle a eu. « Je remercie tous les jours ma bonne étoile de m’avoir amené à vivre ici », déclare-t-elle.


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